Apparu en 2001 avec l'album Clarence Park sur le label Warp, le britannique Christopher Clark s'est rapidement imposé dans le cercle restreint des génies de l'electronica aux cotés d'Autechre ou d'Aphex Twin. Depuis quelques années il s'est attaqué à l'univers de la musique pour l'image comme le démontre ce douzième album, aux réminiscences fortement orientées musique de chambre, avec violoncelle, échantillons de piano, basse monophonique, et cuivres réverbérés qui s’ajoutent à la partie. On n'oublie pas le field recording et les notes étirées dans l’espace, accompagnant un mouvement ascendant et descendant de cordes, qui évolue en trame mélancolique et à laquelle s’ajoute la voix de Nathaniel Timoney. Du grand art sorti chez Deutsche Grammophon, excusez du peu.
samedi 18 novembre 2023
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